On se fout beaucoup de la gueule des Bogdanoff, à juste titre à mon avis, mais on parle moins d'un autre cas, qui n'est pourtant pas méconnu, l'une de mes idoles d'enfance (oui, il faut TOUT assumer) : Karen Chéryl.
Probablement un nouveau mystère médical.
Toujours est-il que ma mère avait une cassette d'elle quand j'étais petite, et lorsque tout le monde était couché, l'été, j'ouvrais doucement les volets de ma chambre, je glissais la cassette dans mon baladeur, je mettais le son à fond, et je dansais sur mon lit, au clair de lune, là-dessus, et sur le reste de l'album.
C'était cool.
Tribute
Karen Cheryl : Les nouveaux romantiques
« La vie ou la mort »
Il y a 7 ans
Un jour quand j'étais petit on était allés à Versailles (la grande ville du coin), dans la cour de la préfecture, et Karen Cheryl était descendue du CIEL (*) ! Et même qu'on avait pu la toucher après et tout. J'ai aucune idée de ce qu'elle foutait là.
RépondreSupprimer(*) En hélicoptère, pour être précis