mercredi 23 juin 2010

Oh chéri chéri !

On se fout beaucoup de la gueule des Bogdanoff, à juste titre à mon avis, mais on parle moins d'un autre cas, qui n'est pourtant pas méconnu, l'une de mes idoles d'enfance (oui, il faut TOUT assumer) : Karen Chéryl.

Probablement un nouveau mystère médical.
Toujours est-il que ma mère avait une cassette d'elle quand j'étais petite, et lorsque tout le monde était couché, l'été, j'ouvrais doucement les volets de ma chambre, je glissais la cassette dans mon baladeur, je mettais le son à fond, et je dansais sur mon lit, au clair de lune, là-dessus, et sur le reste de l'album.
C'était cool.

Tribute

Karen Cheryl : Les nouveaux romantiques

1 commentaire:

  1. Un jour quand j'étais petit on était allés à Versailles (la grande ville du coin), dans la cour de la préfecture, et Karen Cheryl était descendue du CIEL (*) ! Et même qu'on avait pu la toucher après et tout. J'ai aucune idée de ce qu'elle foutait là.

    (*) En hélicoptère, pour être précis

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